Le ministre des Relations Extérieures de Cuba, Bruno Rodríguez, a rechassé ce jeudi l’inclusion de son pays dans le rapport annuel des Etats Unis sur des pays ayant des liens avec la traite des personnes, et a ratifié la politique de "tolérance zéro" à propos.
"Cuba déploie un travail exemplaire dans le combat contre la traite des personnes en maintenant une politique de tolérance zéro face à n’importe quel modalité de ce fléau " à fait savoir Rodríguez dans un message sur son compte Twitter.
Le Département des Etats nord-américain a publié dans cette journée sa liste noire des nations qui apparemment ne font pas suffisamment pour lutter contre le trafique humain, et maintien la grande des Antilles, pour la seconde année consécutive, au niveau trois, la pire qualification. Selon Washington, les missions médicales cubaines font usages par le gouvernement cubain que dirige Miguel Díaz-Canel constituent un exemple de "travail forcé".
Washington évoque que La Havane n’a pas pris des mesures pour abandonner les politiques "coercitives et des exploitations" dans des missions, qui sont des "indicateurs claires de la traite des personnes".
Pour Johana Tablada, sous-directrice pour des Etats Unis au Ministère des Affaires Etrangères cubain, c’est un rapport "unilatéral, sans aucune légitimité".
"Le Département d’Etat a accompli des objectifs nettement politiques et fallacieux comme arme d’agression contre des états qui ont un déploiement que le sien et sans respect à la lutte réelle de la traite des personnes", a souligné la diplomate dans son propre compte.
L’administration Trump maintien une compagnie contre la collaboration médicale cubaine dans le monde, au milieu d’une croissante demande internationale que l’on décerne le prix Nobel de la Paix à ces brigades de collaborations.
Le 10 juin dernier, le secrétaire d’Etat nord-américain, Mike Pompeo, a exigé des explications à l’Organisation Panaméricaine de la Santé (OPS) pour "faciliter le travail forcé" des professionnels cubains à travers le programme Más Médicos (Encore des Médecins), instauré par le gouvernement de Dilma Rousseff, au Brésil dans la période 2013-2018.
Aussi, trois sénateurs républicains aux Etats Unis ont présenté la semaine passée un projet de lois pour punir les pays qui signent des accords avec des missions médicales de la nation caribéenne, initiative qui a été refusée par l’Organisation des Etats de la Caraïbe Orientale.
Dans l’actualité, près de 3.000 médecins, infirmiers et techniciens de la grande des Antilles collaborent dans l’affrontement du nouveau coronavirus dans 28 pays des différentes latitudes, à la sollicitude de leurs gouvernements.
La nouvelle liste des USA sur la traite des personnes inclus avec Cuba au même niveau des autres 18 pays, tels que le Nicaragua, Venezuela, Russie, Iran, la République Populaire Démocratique de Corée et Syrie.