La Havane, vendredi 13 de mai de 2016. Le Gouvernement révolutionnaire de Cuba a dénoncé à plusieurs reprises le coup d'Etat parlementaire judiciaire déguisée de la légalité, qui aura lieu au Brésil. Aujourd'hui, une étape fondamentale a été prise par les putschistes.
La plupart des sénateurs brésiliens ont décidé de poursuivre le processus de procès politique contre le président selon les lois du Brésil, Dilma Rousseff, et avec elle, pour séparer Rousseff «provisoirement» du poste, pour une période allant jusqu'à 180 jours, dans que le Sénat doit décider, au moyen du vote des deux tiers de ses membres, la suppression définitive du bureau.
Il est question, en fait, d'un dispositif armé par les secteurs de l'oligarchie dans ce pays, soutenu par la grande presse réactionnaire et l'impérialisme, avec l'intention de revenir au projet politique du Parti des travailleurs, de démolir le gouvernement légitime et usurper le pouvoir qu'ils ne pouvaient pas avoir gagné avec le vote électoral.
Ce qui se passe au Brésil est une partie de la contre-offensive réactionnaire de l'impérialisme et l'oligarchie contre les gouvernements révolutionnaires et progressistes de l'Amérique latine et la mer des Caraïbes, qui menace la paix et la stabilité des nations, violer l'esprit et la lettre de la Proclamation de l'Amérique latine et la mer des Caraïbes comme zone de paix, signé dans le 2e Sommet du CELAC en Janvier 2014, à la Havane par les chefs d'Etat et de gouvernement de la région.
Comme il est exprimé par le Président du Conseil du Conseil et des ministres d'Etat de la République de Cuba, le général d'armée Raul Castro Ruz, dans la journée de clôture de la 6e Session ordinaire de l'Assemblée nationale le 29 Décembre, «l'histoire nous montre que lorsque les forces de droite arrive au pouvoir, et prend les gouvernements, ne doute pas dans le démantèlement des politiques sociales, bénéficient les riches, établir et appliquer des thérapies néolibéralisme cruelles contre les travailleurs, les jeunes et les femmes. "
Le peuple du Brésil, les forces politiques gauchistes et les mouvements sociaux combatifs rejettent ce coup et seront opposés à toute tentative de démantèlement des importants programmes sociaux créés par les gouvernements de gauche, avec Lula et Dilma leur position, des programmes tels que Bolsa Familia ( Sac de famille), Mas Doctores (Plus de médecins), Mi Casa, Mi Vida (Ma Maison, Ma vie), Hambre Cero (Faim zéro) et d'autres qui ont changé la vie de millions de personnes au Brésil.
Dilma, Lula, le Parti des travailleurs et le peuple du Brésil compte et sera toujours compter sur la solidarité de Cuba.
La Havane, 12 mai 2016.