Cuba met à nu l’injuste ordre financier mondial au sommet de Paris
Le président de Cuba, Miguel Diaz-Canel, a porté la voix du Sud pour dénoncer l’ordre international injuste qui entrave son développement lors du sommet pour un Nouveau Pacte Financier Mondial, qui prend fin aujourd’hui dans cette capitale.
En sa qualité de président du Groupe des 77 plus la Chine, qui regroupe 134 des 193 États membres de l’ONU, le mandataire est intervenu la veille lors de la journée inaugurale de l’événement pour aborder l’impact de l’architecture financière actuelle et l’urgence de la transformer.