Le président Miguel Diaz-Canel a affirmé aujourd’hui que le blocus imposé par les États-Unis il y a plus de 60 ans visait à mutiler la capacité du Gouvernement cubain à répondre aux besoins fondamentaux du peuple.
Le chef d’État a dénoncé les effets de cette politique unilatérale sur la dépression de plusieurs services essentiels dans le pays caribéen, notamment les secteurs de l’électricité, la santé, l’éducation, l’approvisionnement en eau, les transports publics et des médicaments.
Le ministre des Affaires étrangères Bruno Rodriguez a rejeté hier les accusations calomnieuses sans fondement ni preuve des États-Unis que Cuba a interféré dans ses processus électoraux.
Sur son compte du réseau social X, le ministre a refusé que de telles accusations réapparaissent, ce qui, a-t-il déclaré, est une « totale tromperie » de la part d’un gouvernement qui s’immisce habituellement dans les affaires politiques de nombreux pays.
Cuba ne promeut pas, ne participe pas et ne réalise pas d'actes qui constituent une ingérence dans les affaires intérieures de l'Argentine, a déclaré hier le directeur général pour l'Amérique latine et les Caraïbes du ministère des Affaires étrangères de l'île, Eugenio Martínez.
Les déclarations du diplomate interviennent après plusieurs tentatives calomnieuses visant à associer la nation caribéenne à la prétendue agitation ou préparation d’actes de vandalisme dans la République argentine.
Le Premier ministre cubain, Manuel Marrero, a assuré hier que le tourisme est l’un des secteurs les plus touchés par le blocus des États-Unis, qui vise à détruire cet important secteur de l’économie nationale.
« Cuba ne peut accéder au principal marché touristique de la région que sont les États-Unise », a-t-il précisé lors des débats de la Commission d’Attention aux Services de l’Assemblée Nationale du Pouvoir Populaire (parlement).
Le ministre des Affaires étrangères cubain, Bruno Rodriguez Parrilla, a réaffirmé aujourd’hui l’engagement de préserver l’essence humaniste et sociale de l’Alliance bolivarienne pour les peuples de Notre Amérique (ALBA-TCP) à l’occasion des 19 ans de sa création.
Sur son compte du réseau social X (anciennement Twitter), Rodriguez Parrilla a souligné la responsabilité des pays membres de l’ALBA-TCP de travailler pour plus de conquêtes, notamment sociales, en rappelant la création de cette alliance le 14 décembre 2004.
Le ministre cubain des Affaires étrangères, Bruno Rodríguez, a évalué hier les résultats de la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique (COP28) récemment conclue comme équilibrés, mais insuffisants.
Le ministre a commenté sur son compte du réseau social X qu’il appartient désormais aux pays industrialisés de respecter les engagements pris et l’objectif de zéro émission compte tenu de leur responsabilité historique.
Le vice-président des Maldives, Hussain Mohamed Latheef, a remercié Cuba pour son aide dans le secteur de la santé, avec la collaboration de médecins et des opportunités de formation, a souligné aujourd'hui le journal national Sun.
Le journal maldivien a reproduit l’information du site officiel de son gouvernement sur la rencontre d’hier entre Latheef et la vice-première ministre cubaine Inés María Chapman, à Genève, en Suisse, où ils se trouvent pour participer à l’événement de haut niveau du 75e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme.
La Communauté des Caraïbes (Caricom) et Cuba fêtent aujourd'hui les 51 ans de l'établissement de leurs liens, depuis renforcés par la coopération solidaire de la plus grande des Antilles et le soutien du bloc apporté à l’île sur la scène internationale.
Les deux parties célèbrent la décision de Trinité-et-Tobago, de la Barbade, du Guyana et de la Jamaïque d’établir des relations diplomatiques avec La Havane en 1972 et de briser l’isolement hostile auquel le gouvernement cubain faisait face depuis le triomphe révolutionnaire de 1959.
Durant son intervention au Sommet mondial sur l’action climatique le président de Cuba, Miguel Diaz-Canel, a déclaré que la paix est nécessaire pour sauver la planète, tout en rejetant le génocide d’Israël contre le peuple palestinien.
« À un peu plus de deux mille kilomètres d’ici, un génocide a lieu à Gaza. Au nom de Cuba, nous condamnons catégoriquement l’escalade de la violence et de la terreur contre les habitants de cette bande de terre de la Palestine occupée », ont été les premiers mots du discours du dirigeant insulaire.