La Havane, le 16 ami 2022. Ce jour, le gouvernement des Etats Unis a annoncé des nombreuses mesures, positives mais de portée très limitée, envers Cuba en matière de visas, migration régulière, des vols vers les provinces, transfert des fonds, ajustement aux régulations pour les transactions avec le secteur no étatique.
Pour sa nature, c’est possible d’identifier quelques unes des promesses du président Biden lors de la campagne électorale de 2020 pour alléger des décisions inhumaines prises par le gouvernement du président Trump, qui ont endurcie le blocus jusqu’aux niveaux sans précédents et la politique de ‘’maximale pression’’ depuis celle appliqué contre notre pays.
Les annonces ne modifient en rien le blocus, ni des mesures principales d’encerclement économique prises par Trump, comme celles listés des entités qui sont soumises aux mesures coercitives additionnelles, ni élimine les prohibitions des voyages des américains.
Ne retire pas l’inclusion arbitraire et frauduleuse de Cuba sur la liste du Département d’Etat sur les pays qui sous prétextent sont des parrains du terrorisme, une des principales causes de difficultés qu’affrontent Cuba pour ses transactions commerciales et financières de part le monde.
Il s’agit, cependant, d’un pas limité envers la direction correcte, une réponse aux revendications du peuple et du gouvernement cubains. Ceci répond aussi aux appels de la société des Etats et des cubains résidents dans ce pays. Il a été une demande de la Communauté des Etats Latino-Américains et Caribéens et de presque la totalité des états membres des Nations Unies, exprimé par l’écrasant vote contre le blocus. Ce sont des revendications justes qui ont été ignorées par le gouvernement des Etats Unis à un coût très élevé pour notre population.
Depuis 2019, le blocus s’est endurci en extrême profitant de manière opportuniste le contexte de la pandémie de la Covid-19, la crise internationale et la conséquente dépression économique. Sans exagération, les conséquences de cet encerclement peuvent être qualifiées comme dévastatrices. L’augmentation de migration est l’une des preuves.
En faisant ces pas limités, le Département des Etats utilise un langage ouvertement hostile, accompagné de calomnies traditionnelles et nouvelles mensonges mises en mode ces derniers mois, qui démontre que rien n’a changé sur les objectifs de la politique des Etats Unis contre Cuba, nui leurs principales instruments.
Pour connaitre l’apportée réelle de cet annonce, on devra espérer pour la publication des régulations qui seront mise en œuvre.
Le Gouvernement de Cuba réitère sa disposition à initier un dialogue respectueux et à pied égal avec le Gouvernement des Etats Unis, sur la base de la Charte des Nations Unies, sans ingérence des affaires internes et avec plein respect à l’indépendance et à la souveraineté.
(Cubaminrex).