Cuba a qualifié hier d’injustifiées les restrictions imposées au fonctionnement de certaines délégations de membres de l’ONU, en violation des obligations des États-Unis en tant que pays hôte de l’organisation.
Après près de 30 ans d’efforts pour amener à Cuba des fournitures médicales et collaborer avec des institutions de santé, Bob Schwartz sait clairement que la politique des États-Unis envers l’île porte le nom de blocus.
Le directeur exécutif de l’organisation non gouvernementale Global Health Partners (GHP) considère la nation caribéenne comme un «cas différent» en vue d’établir des dons pour son système de santé et ce précisément en raison du siège imposé par le gouvernement nord-américain depuis plus de 60 ans.
Le ministre des Affaires étrangères cubain Bruno Rodriguez a dénoncé aujourd’hui que les dommages accumulés par le blocus économique, commercial et financier des États-Unis contre son pays s’élèvent à 159,84 milliards 300 milles dollars.
Rodriguez a révélé ce chiffre dans la présentation aux membres du corps diplomatique accrédité à Cuba du Rapport national sur les conséquences du siège économique de Washington contre La Havane de mars 2022 à février 2023.
Si le président Joe Biden parlait au nom du peuple des États-Unis, il lèverait aujourd'hui le blocus imposé à Cuba et éliminerait la désignation de l'île comme pays parrainant le terrorisme, a affirmé la militante Cheryl Labash.
Cela est exigé par plus d’une centaine de résolutions approuvées dans tout le pays et représentant quelque 55 millions de personnes, a déclaré LaBash dans des déclarations à Prensa Latina depuis la ville de Boston, capitale de l’État du Massachusetts, où s’est tenue ce week-end la réunion annuelle du Réseau National de Solidarité avec Cuba (NNOC).
Le gouvernement syrien a exigé mardi que le nom de Cuba soit retiré de la soi-disant liste américaine des États soutenant le terrorisme.
Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères du pays arabe a qualifié cette liste de fausse et honteuse, par laquelle Washington exerce un chantage ouvert contre des pays souverains et justifie son ingérence dans les affaires intérieures d'autres nations.
D'autre part, il a fermement condamné la récente attaque contre la mission diplomatique de la plus grande des Antilles à Washington et l'a qualifiée de terroriste.
Des associations de différents pays européens se sont jointes aujourd'hui à la condamnation de l'attaque au cocktail Molotov de dimanche contre l'ambassade de Cuba à Washington D.C. et ont exigé que les États-Unis cessent de soutenir le terrorisme.
Depuis la France, l’organisation de solidarité Cuba Si France a qualifié cette action de haineuse, misérable et extrêmement grave, et a rappelé que pour la deuxième fois depuis 2020, le siège diplomatique de l’île dans la capitale états-unienne a été la cible d’un attentat terroriste.
Le ministre cubain des Affaires étrangères, Bruno Rodríguez Parrilla, a dénoncé sur son compte X l'attaque terroriste perpétrée dans la nuit de dimanche à lundi contre l'ambassade de Cuba aux États-Unis.
Le président cubain Miguel Díaz-Canel a dénoncé aujourd'hui l'attaque terroriste perpétrée contre l'ambassade de l'île à Washington et a exigé des réponses de la part des autorités américaines.
"La nuit dernière, la haine a de nouveau lancé une attaque terroriste contre notre ambassade à Washington, dans un acte de violence et d'impuissance qui aurait pu coûter des vies précieuses", a déclaré le président sur son compte du réseau social X, anciennement Twitter.
La lutte contre le cancer n’a pas de différence, que ce soit à Cuba ou aux États-Unis, car il s’agit de l’humanité, a déclaré ici aujourd’hui le directeur du Centre du Cancer Massey de Virginie, Robert Winn.
Après avoir signé un mémorandum d’accord entre l’institution qu’il dirige et l’Institut d’oncologie et de radiobiologie de l’île, Winn a déclaré à la presse que ce moment ouvre une nouvelle occasion de compréhension et de collaboration, « parce que nous sommes tous concernés dans la lutte contre cette maladie ».
Depuis plus de 60 ans, le gouvernement des États-Unis mène une politique hostile contre Cuba avec une intention politique claire de sanctionner et d’isoler le peuple cubain. En pleine pandémie, l’administration Trump a tenté de nuire davantage à l’économie cubaine non seulement en renforçant le blocus, mais aussi en inscrivant Cuba sur la liste des États soutenant le terrorisme.
