Aucun pays n'est exempt de défis, et aucun n'a l'autorité de se considérer comme un paradigme, encore moins d'utiliser les droits de l'homme comme prétexte pour stigmatiser d'autres États souverains.
Les tentatives visant à transformer le Conseil en un tribunal contre les pays qui ne sont pas soumis aux intérêts géopolitiques des maîtres de la finance, des marchés, des médias et des armes sont inacceptables.