Déborah Rivas Saavedra, vice-ministre du Commerce extérieur et de l'Investissement étranger de la République de Cuba, intervient dans le débat général de la XVIe Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement.
Monsieur le Président,
Madame la Secrétaire générale,
Mesdames et Messieurs les Ministres, délégués et invités,
Le système actuel des relations internationales subit les déséquilibres d’un ordre injuste, inégal et excluant, insoutenable pour la planète et incompatible avec le bien-être de tous, car il marginalise les peuples du Sud du progrès mondial.
Déborah Rivas Saavedra, vice-ministre du Commerce extérieur et de l'Investissement étranger de la République de Cuba, intervient lors de la réunion ministérielle des petits États insulaires en développement.
Excellences,
Distingués délégués et invités,
Nous nous réunissons dans un contexte international marqué par des défis sans précédent qui ont un impact sur chacun d’entre nous, mais dont les conséquences les plus graves touchent de manière disproportionnée les petits États insulaires en développement.
Vice-ministre du Commerce extérieur et de l'Investissement étranger de la République de Cuba, Déborah Rivas Saavedra, lors d'un événement sur les mesures coercitives unilatérales. XVIe Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement.
Madame la Ministre, Excellences,
Nous remercions la République bolivarienne du Venezuela pour l’organisation de cet important événement et pour l’opportunité de discuter d’un sujet de grande pertinence.
Notre position est claire : les mesures coercitives unilatérales sont illégales en toutes circonstances et, par conséquent, inacceptables. Elles constituent une violation flagrante de la Charte des Nations Unies et des principes qui soutiennent le multilatéralisme.
Rodolfo Benítez Verson, Ambassadeur, Représentant permanent de Cuba, lors du débat général au titre du point 3 de l’ordre du jour. 60E Conseil des droits de l’homme.
Le blocus économique, commercial et financier inhumain et criminel imposé par le Gouvernement des États-Unis contre Cuba, comme l’ont souligné plusieurs Rapporteurs du Conseil des droits de l’homme, constitue une violation massive, flagrante et systématique des droits de l’homme de l’ensemble de la population cubaine.

